L'étonnant dossier de la Place des Arts - 1956-1967 Auteur :
Laurent Duval Laurent Duval a été le premier directeur des Relations publiques de laplace des Arts de Montréal, du Centre
national des Arts d'Ottawa et des Services français de Radio-Canada. Membre agréé de la Société canadienne des Relations publiques, il en a été le président, pour le Québec, en 1975. Il a collaboré à de nombreuses publications, dont « Forces », « Le Devoir », « La Revue Commerce », « Marketing », « Culture vivante », « Vie musicale », « Les Cahiers canadiens de la musique », « l'Encyclopédie de la musique au Canada », « la Conférence canadienne des Arts », « la Revue française de l'Élite européenne », « Micro 4 » et « l'Institut québécois de recherche sur la culture ». Il a lancé et dirigé « Placedart », l'organe officiel et le magazine des événements artistiques de la Place des Arts.
La Place des Arts a été inaugurée le 21 septembre 1963, non dans le faste du grand festival qui avait été élaboré pour l'occasion, mais dans le tumulte et la confusion. Quelques mois plus tard, le Gouvernement du Québec invitait tous les administrateurs du Centre Sir Georges-Étienne Cartier à remettre leur démission. L'un d'entre eux, le maire Jean Drapeau, l'avait fait avant le jour fatidique. Comme il était l'initiateur du projet remis en cause, il entendait éviter l'affront.
Lors du parachèvement des travaux de construction de la Place des Arts, l'institution naissante se trouva en porte-à-faux entre l'Union des Artistes et l'Actors'Equity dans un conflit syndical apparemment sans issue. Il s'ensuivit une campagne de presse désastreuse pour la Place des Arts, alimentée en partie par la révélation du coût des édifices. L'intervention gouvernementale fut vigoureuse, mais c'est la Place des Arts qui fit les frais de l'embrouillamini dont furent frappés les malheureux administrateurs du Centre Sir Georges-Étienne Cartier.
Du 19 juin 1956, date de la première assemblée préliminaire du Centre Sir Georges-Étienne Cartier au 13 octobre 1964, celle de sa dernière assemblée, il y aura eu 129 sessions de travail réparties sur 100 mois. C'est peut-être loin des 10 600 jours de monsieur Jean Drapeau à la mairie de Montréal mais c'est amplement suffisant pour justifier un examen attentif de ce dossier méconnu de la Révolution tranquille.
Condition générale du livre : Non disponible > Plus d'information... Numéro d'inventaire : 12970 Éditeur : Louise Courteau Collection : Non disponible Numéro(s) du livre : Non disponible ISBN : 2-89239-088-5 Année d'impression : 1988 Poids : 760 gr
Prix : 7,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Sans obligation de votre part, vous pourrez connaître le coût d'un achat (tous les frais inclus) en cliquant sur le bouton « Ajoutez à mon panier d'achats ».
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