La bonne aventure Auteur :
Anne Green Une ville du Sud des États-Unis. Rose Duncan vit seule avec son frère dans une maison négligée en compagnie d'Eugenia, une vieille négresse de La Barbade qui lui inculque la passion de connaître « la bonne aventure ».
Les jeunes Duncan ont un père extravagant qui s'occupe d'eux quand il peut. À son premier bal, Rose s'est liée à Stuart Drummond. Mais un jour, dans l'esprit de Stuart, germe un doute affreux : Mr. Duncan n'a-t-il pas été l'amant de sa mère ? Rose est peut-être sa soeur. Saisi d'horreur, mais toujours amoureux, il rompt et se fiance ailleurs.
Rose consulte voyantes, « extra-lucides » et sorcières, jusqu'au jour où une « magicienne » arrive à la rapprocher de Stuart. Tout est facilité : ce dernier apprend que Mr. Duncan ne connaissait même pas Mrs. Drummond. Dès lors, Rose tient moins à Stuart, et celui-ci, d'une jalousie maladive, séquestre sa femme. Pour se débarrasser d'une ardeur intempestive, elle pense avoir recours à la magicienne, qui refuse. Toujours solitaire, elle attend la naissance de son enfant, avec l'espoir « qu'il se passera quelque chose ».
L'inattendu survient. L'arrivée du bébé transforme Stuart en père modèle et
exaspérant. Rose n'est plus que la mère de son enfant. Elle s'achète une belle maison de campagne pour la remplir d'invités, mener enfin une vie gaie, amusante et ne plus jamais s'occuper d'amour. Mais une circonstance imprévue jette tous ses projets à terre : notre héroïne romanesque se résignera-t-elle à son nouveau destin ?
Anne Green est née dans une ville du Sud des États-Unis, de parents américains. Son père s'est fixé en France avec sa famille lorsqu'elle avait un an, ce qui lui a procuré le redoutable avantage de savoir en même temps le français et l'anglais. Le fait d'être bilingue lui a causé de grands ennuis dès son jeune âge, car elle ne quittait le Lycée Molière que pour retrouver une mère désireuse de consacrer « ses moments perdus » à l'étude de l'univers anglo-saxon, son histoire, sa littérature. Cette double éducation lui a donné, bien malgré elle, une telle habitude du travail qu'elle a mauvaise conscience, aujourd'hui même, les jours où elle reste oisive.
En dehors des voyages, toute sa vie s'est passée en France à des activités littéraires : articles, nouvelles, adaptations, romans. Si l'on peut aimer ce que l'on écrit, son oeuvre préférée est un volume de souvenirs : « Mes jours évanouis » qui est la vie de ses parents. Elle a écrit une douzaine de romans en anglais, quatre en français. Son dérivatif, c'est la lecture et si elle ne lit plus beaucoup d'histoires d'amour, elle ne cessera jamais de s'en raconter.
Condition générale du livre : Non disponible > Plus d'information... Numéro d'inventaire : 5424 Éditeur : Albin Michel Collection : Roman Numéro(s) du livre : Non disponible ISBN : Non disponible Année d'impression : 1966 Poids : 430 gr
Prix : 3,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Sans obligation de votre part, vous pourrez connaître le coût d'un achat (tous les frais inclus) en cliquant sur le bouton « Ajoutez à mon panier d'achats ».