De l'utilité des femmes - Les corps tranquilles - Tome II Auteur :
Jacques Laurent Jacques Laurent est né à la fin de la première guerre mondiale, le 5, janvier 1919, entre l'armistice et la paix. Il a grandi entre la fin d'une guerre et le début d'une autre, influencé par la pléiade des écrivains de cet entre-deux-guerres, et il finissait sa licence de philosophie quand 1939 fit de lui un soldat. C'est au lendemain de la Libération que, marqué par le rapide changement du monde, il écrivit « Les Corps tranquilles » qui, à la fois, annonçait le nouveau roman et restait lié à la grande lignée du roman français. Par la suite, il devait devenir célèbre sous un pseudonyme, fonder la revue littéraire « La Parisienne » (1952), diriger l'hebdomadaire « Arts » (1954-1959), publier des essais : « Paul et Jean-Paul » (Grasset), « Neuf perles de culture » - (en collaboration avec Claude Martine, Gallimard), « Au contraire » (La Table Ronde); des ouvrages de polémique (« Mauriac sous de Gaulle », La Table Ronde), qui lui valent une condamnation en offense au chef de l'État. Mais romanesquement, il ne publia que « Le Petit Canard », qu'il considérait comme un post-scriptum à son ouvrage capital « Les Corps tranquilles ».
Afin d'obtenir de quoi vivre pendant les six mois qui lui étaient nécessaires pour finir d'écrire « Les Corps tranquilles », Jacques Laurent inventa « Cecil Saint-Laurent » qui devint célèbre en écrivant « Caroline chérie » (deux millions d'exemplaires en France, quatorze traductions). Cet immense succès lui permit d'achever avec un total désintéressement « Les Corps tranquilles » qui, publié en 1950, choqua parce qu'il ne transigeait ni avec la mode de l'époque, ni avec la tradition. Ce roman se dresse comme un menhir sur la lande pour reprendre la formule de Roger Nimier qui comme Paul Morand, Céline, Montherlant, Antoine Blondin, fut l'un des premiers admirateurs de cette oeuvre étrange qui ne ressemble à aucune autre. Il s'agit d'un roman initiatique, du passage de la jeunesse à la maturité, d'une métamorphose à travers laquelle se déflorent les charmes et les horreurs d'une société elle aussi en état de transformation.
Non disponible > Plus d'information... 23944 Table Ronde Le Livre de Poche 3146 Non disponible 1971 230 gr
Prix : 5,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com La ritournelle - Les corps tranquilles - Tome I Auteur :
Jacques Laurent Jacques Laurent est né à la fin de la première guerre mondiale, le 5, janvier 1919, entre l'armistice et la paix. Il a grandi entre la fin d'une guerre et le début d'une autre, influencé par la pléiade des écrivains de cet entre-deux-guerres, et il finissait sa licence de philosophie quand 1939 fit de lui un soldat. C'est au lendemain de la Libération que, marqué par le rapide changement du monde, il écrivit « Les Corps tranquilles » qui, à la fois, annonçait le nouveau roman et restait lié à la grande lignée du roman français. Par la suite, il devait devenir célèbre sous un pseudonyme, fonder la revue littéraire « La Parisienne » (1952), diriger l'hebdomadaire « Arts » (1954-1959), publier des essais : « Paul et Jean-Paul » (Grasset), « Neuf perles de culture » - (en collaboration avec Claude Martine, Gallimard), « Au contraire » (La Table Ronde); des ouvrages de polémique (« Mauriac sous de Gaulle », La Table Ronde), qui lui valent une condamnation en offense au chef de l'État. Mais romanesquement, il ne publia que « Le Petit Canard », qu'il considérait comme un post-scriptum à son ouvrage capital « Les Corps tranquilles ».
Afin d'obtenir de quoi vivre pendant les six mois qui lui étaient nécessaires pour finir d'écrire « Les Corps tranquilles », Jacques Laurent inventa « Cecil Saint-Laurent » qui devint célèbre en écrivant « Caroline chérie » (deux millions d'exemplaires en France, quatorze traductions). Cet immense succès lui permit d'achever avec un total désintéressement « Les Corps tranquilles » qui, publié en 1950, choqua parce qu'il ne transigeait ni avec la mode de l'époque, ni avec la tradition. Ce roman se dresse comme un menhir sur la lande pour reprendre la formule de Roger Nimier qui comme Paul Morand, Céline, Montherlant, Antoine Blondin, fut l'un des premiers admirateurs de cette oeuvre étrange qui ne ressemble à aucune autre. Il s'agit d'un roman initiatique, du passage de la jeunesse à la maturité, d'une métamorphose à travers laquelle se déflorent les charmes et les horreurs d'une société elle aussi en état de transformation.
Non disponible > Plus d'information... 17692 La table ronde Le Livre de Poche 3145 Non disponible 1971 240 gr
Prix : 5,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Le petit canard Auteur :
Jacques Laurent Jacques Laurent est né à la fin de le première guerre mondiale, le 5 janvier 1919, entre l'armistice et la paix. II a grandi entre la fin d'une guerre et le début d'une autre, influencé par la pléiade des écrivains de cet entre-deux-guerres, et il finissait sa licence de philosophie quand 1939 fit de lui un soldat. C'est au lendemain de la Libération que, marqué par le rapide changement du monde, il écrivit « Les Corps tranquilles » qui, à la fois, annonçait le nouveau roman et restait lié à la grande lignée du roman français.
Par la suite, il devait devenir célèbre sous un pseudonyme, fonder la revue littéraire « La Parisienne » (1952), diriger l'hebdomadaire « Arts » (1954-1959), publier des essais : « Paul et Jean-Paul » (Grasset), « Neuf perles de culture » (en collaboration avec Claude Martine, Gallimard), « Au contraire » (La Table Ronde); des ouvrages de polémique (« Mauriac sous de Gaulle », La Table Ronde), qui lui valent une condamnation en offense au chef de l'État. Mais romanesquement, il ne publia que « Le Petit Canard », qu'il considérait comme un post-scriptum à son ouvrage capital « Les Corps tranquilles ».
Non disponible > Plus d'information... 22622 Grasset Le Livre de poche 3377 Non disponible 1972 100 gr
Prix : 3,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Le suicide de Dieu - Les corps tranquilles - Tome III Auteur :
Jacques Laurent Jacques Laurent est né à la fin de le première guerre mondiale, le 5 janvier 1919, entre l'armistice et la paix. II a grandi entre la fin d'une guerre et le début d'une autre, influencé par la pléiade des écrivains de cet entre-deux-guerres, et il finissait sa licence de philosophie quand 1939 fit de lui un soldat. C'est au lendemain de la Libération que, marqué par le rapide changement du monde, il écrivit « Les Corps tranquilles » qui, à la fois, annonçait le nouveau roman et restait lié à la grande lignée du roman français.
Par la suite, il devait devenir célèbre sous un pseudonyme, fonder la revue littéraire « La Parisienne » (1952), diriger l'hebdomadaire « Arts » (1954-1959), publier des essais : « Paul et Jean-Paul » (Grasset), « Neuf perles de culture » (en collaboration avec Claude Martine, Gallimard), « Au contraire » (La Table Ronde); des ouvrages de polémique (« Mauriac sous de Gaulle », La Table Ronde), qui lui valent une condamnation en offense au chef de l'État. Mais romanesquement, il ne publia que « Le Petit Canard », qu'il considérait comme un post-scriptum à son ouvrage capital « Les Corps tranquilles ».
Non disponible > Plus d'information... 22621 La Table Ronde Le Livre de poche 3147 Non disponible 1971 240 gr
Prix : 5,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Les bêtises Auteur :
Jacques Laurent Jacques Laurent est né en 1919. Il a grandi entre la fin d'une guerre et le début d'une autre, influencé par la pléiade des écrivains de cet entre-deux-guerres; il finissait sa licence de philosophie quand 1939 fit de lui un soldat. C'est au lendemain de la Libération que, marqué par le rapide changement du monde, il écrivit
Les Corps tranquilles (paru en 1950) qui, à la fois, annonçait le nouveau roman et restait lié à la grande lignée du roman français. Par la suite, il devait devenir célèbre sous le pseudonyme de
Cecil Saint-Laurent avec la série des
Caroline. Il a fondé la revue littéraire
La Parisienne ( 1953), dirigé l'hebdomadaire
Arts (1954-1959), publié des essais :
Paul et Jean-Paul, Neuf Perles de culture (en collaboration avec Claude Martine),
Au Contraire; des ouvrages de polémique, notamment
Mauriac sous de Gaulle (qui lui a valu une condamnation pour offense au chef de l'État).
Jacques Laurent est également l'auteur de
Le Petit Canard et
Les Bêtises, (Prix Goncourt en 1971).
Par un instant de distraction, le jeune Gustin attire sur lui l'attention du capitaine de la Hure, mais des mensonges astucieux engendrent des péripéties baroques qui le mettent au mieux avec ce redoutable supérieur, au plus mal avec ses égaux — ainsi débute une aventure désinvolte intitulée Les Bêtises de Cambrai et située dans la France d'après 1940.
Qu'arrive-t-il ensuite ? Obligé de relire son récit pour le rendre publiable en l'étoffant, le créateur de Gustin se livre à un Examen du texte et de ses sources qui aboutit finalement à une pétillante autobiographie non sans retouches. Après quoi, il abandonne la plume pour devenir planteur, puis note au jour le jour ses actes et ses réflexions dans Le Vin quotidien, quitte à les creuser pour y chercher une philosophie dans un quatrième texte en forme d'essai dit Fin Fond.
Cette apparence disparate masque une unité profonde : c'est lui-même que le narrateur traque dans son héros, dans l'homme qui lui sert de modèle, multipliant les jeux de miroirs, faisant avec ironie le roman de son roman, nous entraînant à sa suite de Paris jusqu'au bout du monde pendant plus de vingt ans, dans un tourbillon de jolies femmes, d'images et d'idées dont la « somme », sous le titre
Les Bêtises, a reçu en 1971 la consécration du Prix Goncourt.
Non disponible > Plus d'information... 28396 Grasset Roman 3526 Non disponible 1971 420 gr
Prix : 12,49 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Les dimanches de mademoiselle Beaunon Auteur :
Jacques Laurent Jacques Laurent est né le 5 janvier 1919, entre l'armistice et la paix. Il a grandi entre la fin d'une guerre mondiale et le début d'une autre, influencé par les écrivains de cet entre-deux-guerres, et il finissait sa licence de philosophie quand 1939 fit de lui un soldat. C'est au lendemain de la Libération que, marqué par le rapide changement du monde, il écrivit « Les Corps tranquilles » ce livre à la fois annonçait le roman nouveau et restait lié à la grande lignée du roman français. Par la suite, il devait fonder la revue littéraire « La Parisienne » (1953), diriger l'hebdomadaire « Arts » (1954-1959), publier des essais : « Paul et Jean-Paul » (Grasset), « Neuf perles de culture » (en collaboration avec Claude Martine, Gallimard), « Au contraire » (La Table ronde) et des ouvrages polémiques. En 1971, il obtient le Prix Goncourt pour son roman « Les Bêtises ». Il s'est consacré à des essais : « Histoire égoïste », « Roman du roman », « Le Nu vêtu et dévêtu ». Viennent ensuite deux romans : « Les Sous-ensembles flous » et « Les Dimanches de Mlle Beaunon ». Le Grand Prix de littérature de l'Académie française a été décerné à Jacques Laurent en 1981 ainsi que le Prix littéraire de la Fondation Prince Pierre de Monaco 1983 pour l'ensemble de son oeuvre.
Mile Beaunon est un personnage singulièrement romanesque. De dimanche en dimanche, nous découvrons qu'elle ne ressemble guère à la légende qu'elle s'est faite au bureau, dans son immeuble et dans sa famille. Elle n'est pas vierge, elle drague dans les musées, elle refuse toute liaison suivie, se débarrasse de chaque homme en inventant un faux nom.
La vie qu'elle raconte à ses amants de passage offre des facettes variées puisque Mlle Beaunon est, sinon mythomane, du moins fabulatrice. Si elle drague c'est par sensualité, pour le plaisir d'inventer, par goût de l'inconnu mais surtout celui d'être inconnue, savourant sa gêne et celle de son partenaire lorsqu'elle passe sans transition d'un nu de Rodin à sa propre nudité offerte.
Pendant vingt-cinq ans elle a aimé l'homme dont elle était la secrétaire sans jamais éprouver le besoin d'un échange affectueux, d'un contact physique. Elle arrive à ne pas souffrir de sa mort parce qu'elle se suffit à elle-même et que son imagination peut lui donner l'illusion qu'elle maintiendra toujours son équilibre.
Or, ce bel équilibre va se rompre quand elle tombera amoureuse d'un homme et de deux chattes dont la rivalité jalouse la déchire.
Le roman qui jusque-là semblait dominé par le charme, la drôlerie, frôle soudain le drame, mais l'émotion ne gomme jamais l'humour.
Il fallait l'écriture chatoyante et le génie romanesque de Jacques Laurent pour réussir cet exploit : nous en arrivons à mieux connaitre l'héroïne que nous-mêmes.
Non disponible > Plus d'information... 13740 Grasset Le Livre de Poche 5864 Non disponible 1973 110 gr
Prix : 3,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com
