Histoire des rites sexuels

Auteur : Jacques Marcireau

Les rites sexuels d'origine préhistorique n'avaient jamais fait l'objet d'une étude d'ensemble ni d'aucun essai d'interprétation. On n'osait pas les regarder en face. Ce livre l'ose enfin et apporte la documentation la plus extraordinaire qui ait jamais été rassemblée sur ce sujet.

La prostitution sacrée, le droit de cuissage, le culte du lingam et du yoni, la circoncision sont les vestiges les plus connus de ces pratiques mystérieuses dont la diffusion a été universelle et dont le rôle, dans la formation des religions et des sociétés, a été capital. L'examen attentif du plus ancien de ces rites, l'accouplement bestial (Ève et le serpent), fait apparaître une hypothèse surprenante sur les origines de l'humanité. L'accouplement rituel, non plus entre un animal et une femme, mais entre un prêtre et une prêtresse (ainsi que des fidèles entre eux) a été un usage si répandu que, au temps d'Hérodote, « sauf les Grecs et les Égyptiens, tous les peuples faisaient l'amour dans les temples ». En 1877, le clergé orthodoxe tolérait encore - une fois par an - des accouplements de fidèles dans une église chrétienne…

Les rites sexuels sont inséparables des rites de la Mort et des rites de l'Émasculation. En les expliquant, on comprend enfin une foule de croyances, superstitions, usages sociaux ou religieux, la nature des cérémonies religieuses et autres, l'origine des fêtes, etc.

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Numéro d'inventaire : 25090
Éditeur : Laffont
Collection : Les énigmes de l'univers
Numéro(s) du livre : Non disponible
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1971
Poids : 420 gr

Prix : 7,99 $

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Le Matriarcat

Auteur : Jacques Marcireau

Pendant 20,000 ans la Femme a dominé l'Homme.

La découverte par les archéologues de milliers de déesses Mères (depuis 1898) confirme les multiples travaux d'archéologues, folkloristes, voyageurs, historiens, etc. Seul le matriarcat donne la clé des folklores (Mélusine, Chaperon rouge, etc.), des mythes (Oedipe, etc.), des religions (Trinité, Vierge-Mère, etc.).

Le matriarcat n'a pas été « les Origines » mais une société déjà sophistiquée, ayant comme idéal religieux la protection de la Mère et de l'Enfant. Les « rites sexuels » du matriarcat ont comme objet la génération (et non la sensualité).

La civilisation matriarcale, ritualiste, fascinante, cruelle (sacrifices humains), a porté tous les arts à un haut degré, et inspiré l'architecture et les cérémonies religieuses des temps historiques.

« Toute l'Europe néolithique possédait des conceptions religieuses remarquablement cohérentes fondées sur le culte de la déesse Mère… « Il n'y avait ni dieux ni prêtres, mais une déesse universelle et ses prêtresses, la femme dominant l'homme qui était sa victime apeurée.

« La Grande Déesse était considérée comme immortelle, immuable et toute puissante… Le concept de la filiation par le père n'avait pas pénétré la pensée religieuse…

« Les hommes, dans le système matriarcal craignaient et adoraient la Mère suprême et ils lui obéissaient… Le premier mystère était celui de la Mère (Robert Graves)

Condition générale du livre : 4/5   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 33248
Éditeur : Le Nordais
Collection : Non disponible
Numéro(s) du livre : 007
ISBN : 2-89222-006-8
Année d'impression : 1981
Poids : 280 gr

Prix : 8,99 $

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