Les derniers jours de l'été

Auteur : Anton Myrer

De 1940 à aujourd'hui, la saga de toute une génération, ses passions, ses espoirs, ses désillusions.

Au départ, une bande de jeunes étudiants à Harvard, filles et garçons qui s'aiment dans l'insouciance et le bonheur. C'est l'époque du swing, de Count Basie et Glenn Miller, c'est l'époque de l'Amérique tranquille et opulente. Des jeunes gens avides de vivre et d'aimer partent dans leurs voitures décapotables pour de folles promenades qu'ils voudraient éternelles.

Mais la guerre viendra disloquer la joyeuse bande que les chassés-croisés amoureux avaient déjà divisée.

1945. Garçons et filles se retrouvent et les passions se déchaînent à nouveau, exacerbées par la solitude et la séparation. Du groupe de copains, que reste-t-il ? Des hommes et des femmes partagés entre l'amitié et la rivalité, entre la fidélité et l'ambition. À moins que le bonheur d'autrefois ne survive encore dans le souvenir de ces derniers jours de l'été où ils avaient été heureux…

Scott Fitzgerald avait su saisir l'esprit des années 20, Steinbeck celui des années 30 dans « Les derniers jours de l'été », Anton Myrer évoque merveilleusement les années 40 et 50.

Un grand roman d'amour, une puissante fresque qui ravira tous ceux et toutes celles qui n'ont pas oublié, tous ceux et toutes celles qui veulent revivre l'histoire dont nous sommes les enfants.

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Numéro d'inventaire : 8043
Éditeur : Renaissance
Collection : Roman
Numéro(s) du livre : Non disponible
ISBN : 2-85616-138-3
Année d'impression : 1979
Poids : 850 gr

Prix : 9,99 $

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On ne peut vivre sans aimer

Auteur : Anton Myrer

« On ne peut vivre sans aimer », tel pourrait être le refrain nostalgique des hommes et des femmes qui, à travers passions et souffrances, ont fait l'histoire de notre siècle.

Aventure exemplaire d'un grand amour déchiré et piégé par les mirages d'une société où le pouvoir de l'argent dicte trop souvent sa loi aux sentiments, ce roman nous plonge au coeur de nos espoirs et de nos désillusions.

Le destin de Jophy Gaspa, exacerbé par la rage de vivre des années 20 puis menacé par les drames de la Grande Dépression, est celui d'une femme n'obéissant qu'à un seul désir : vivre intensément. Objet principal de la rivalité qui oppose deux frères tout au long de leur existence, la souveraine Jophy devra payer le prix d'une vie trop pleine de bonheur.

On ne peut vivre sans aimer, mais il y a la haine, la flétrissure, l'égoïsme… Que surgisse la crise économique mondiale et les monstruosités qui nous habitent prennent le pas sur nos meilleurs sentiments, nous précipitant vers l'affrontement tragique et la profondeur des abîmes. Du grand rêve américain de liberté et d'épanouissement, il ne reste peut-être que ruines et larmes…

D'Anton Myrer, les Presses de la Renaissance ont déjà publié avec grand succès « Les derniers jours de l'été » en 1979.

Né à Worcester, Massachusetts, Anton Myrer à fait ses études à Boston puis à l'université Harvard et a servi dans les marines du Pacifique. Auteur de nombreux best-sellers, il vit actuellement à Saugerties, dans l'Êtat de New York.

Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 17348
Éditeur : Presse de la Renaissance
Collection : Roman
Numéro(s) du livre : Non disponible
ISBN : 2-85616-259-2
Année d'impression : 1983
Poids : 640 gr

Prix : 7,99 $

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