Le tour du monde en 80 jours - Le rayon-vert Auteur :
Jules Verne L'imprévu n'existe pas !
Phileas Fogg, membre du très distingué Reforrn-Club de Londres, en est convaincu. En sautant mathématiquement de railways en paquebots et de paquebots en chemins de fer, il est possible, selon ce gentleman, de boucler le tour du monde en quatre-vingts jours. On se récrie, les esprits s'échauffent. Phileas Fogg parie la somme fabuleuse de 20 000 livres la moitié de sa fortune et saute le soir même dans le premier train en partance pour Douvres, accompagné de son pétulant domestique français Passepartout.
Dès ce moment, il lui faut affronter cet imprevu, perpétuellement renaissant, dont il nie I'existence. L'éléphant et le traîneau à voiles, la jonque et le train projeté par-dessus les abîmes, viennent au secours du chemin de fer inachevé, du viaduc ruiné, du paquebot raté. On sauve même au passage une belle Indienne arrachée au bûcher funéraire; on délivre Passepartout que les Sioux avaient enlevé
Et le voyage se poursuit. Mais notre flegmatique globe-trotter parviendra-t-il à triompher, jusqu'au bout, de tous ces imprévus et à achever à temps son fabuleux voyage ?
Après les péripéties du « Tour du monde en 80 jours », « Le Rayon-Vert » va nous offrir dans le monde des voyages verniens, ponctués d'orages, de séismes, de naufrages et d'éruptions la halte aimable d'une histoire d'amour.
La charmante Helena Campbell, promise au savant Aristobolus Ursiclos, aussi ridicule que son nom, accepte de n'épouser cet insupportable pédant qu'après avoir contemplé le Rayon-Vert, dernier rayon du soleil couchant sur l'Océan, ce qui, pense la superstitieuse jeune fille, doit lui permettre de voir clair dans son coeur. Après avoir traversé les Hébrides, dans l'espoir quotidien d'apercevoir cette fugitive flamme verte, elle en manquera l'occasion, distraite par le peintre Olivier Sinclair. Aura-t-elle, dès lors, besoin du Rayon-Vert pour lire en son coeur et trouver le chemin du bonheur ? Robert Taussat, membre de la société Jules-Verne
Jules Verne, né à Nantes en 1828, est mort à Amiens en 1905. Fils d'avoué, il aurait dû, normalement, succéder à son père, mais les Codes ne pouvaient séduire l'imagination de ce petit-fils d'armateurs, tourmenté, dès sa quinzième année, par le démon littéraire. Quelques vaudevilles ne lui avaient procuré qu'un succès d'estime, lorsqu'en 1863 parut « Cinq semaines en ballon », le premier des 64 Voyages extraordinaires.
Ce roman d'un genre nouveau provoqua un enthousiasme immédiat. Ce fut la gloire; elle ne devait plus cesser pour ce merveilleux écrivain géographe qui sut être attentif à tous les aspects de la science de son temps, mais qui, plus poète qu'ingénieur, parvint à doter d'un pouvoir magique les innombrables machines parcourant les routes, les mers et les ciels de l'univers fabuleux qu'il avait imaginé.
Condition générale du livre : Non disponible > Plus d'information... Numéro d'inventaire : 20322 Éditeur : Hachette Collection : Voyages extraordinaires Numéro(s) du livre : Non disponible ISBN : 2-01-004510-2 Année d'impression : 1977 Poids : 560 gr
Prix : 7,99 $ Outil de conversion en ligne du montant (CAD$>EURO ou CAD$>US$ ou autres) : www.xe.com Sans obligation de votre part, vous pourrez connaître le coût d'un achat (tous les frais inclus) en cliquant sur le bouton « Ajoutez à mon panier d'achats ».
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