Auteur : Arlette Cousture

Une émouvante biographie de Claude Saint-Jean.

« Le monde est fou. Justement, c'est ce qu'ils devaient se dire, les policiers, quand ils m'ont conduit à l'hôpital Louis-Hippolyte-Lafontaine. En tout cas, moi, pour eux, j'étais un fou furieux… Rien ne réussit à me calmer. On m'injecte une camisole de force chimique. Je m'endors enfin, d'un sommeil lourd et pas vraiment reposant. Et puis je me réveille. Premier réflexe, c'est l'affolement. Mais qu'est-ce que je fais ici ? Puis les souvenirs me reviennent les uns après les autres. La peur de la solitude. La porte de la salle de bains. Le couteau. Ma mère qui hurle et qui pleure. Les policiers. L'auto-patrouille. Le monde en blanc. Puis le sommeil… Il faut que je sorte d'ici. Je ne suis pas fou. Oui, je suis fou, mais pas de cette folie-là. Je ne suis qu'un fou de peur et de douleur. Je ne suis qu'un fou condamné. Au secours ! »

Émouvant, drôle, triste, bouleversant, parfois choquant ce témoignage de l'homme que l'on connaît maintenant comme le président de l'Association de l'Ataxie de Friedreich. Mais ce n'est pas au personnage public auquel nous avons affaire ici : c'est d'abord à l'adolescent rempli de haine et de désenchantement, à l'adolescent qui a peur, peur de ressembler un jour à cet autre membre de sa famille, ataxique, dont il ne supporte pas la résignation. Qui aurait cru alors que ce jeune homme imprévisible allait faire naître l'espoir chez des milliers de Québécois et incarner pour plusieurs l'image même du héros ?

Cette fantastique métamorphose, ce périple dans l'univers de la recherche médicale, cette extraordinaire histoire d'amour entre une population et l'un des siens, nous sont racontés par Arlette Cousture qui a rendu avec beaucoup de justesse et d'émotion l'histoire d'une vie que le destin semblait avoir marquée de façon irrémédiable.

Préface du docteur André Barbeau.

Auteur : Arlette Cousture

Inusité triangle que celui mis en scène par Arlette Cousture dans cet admirable et émouvant roman qui – faut-il s'en surprendre ? – évoque cet autre triangle plus familier formé par l'écrivain, ses personnages et le lecteur. L'auteur des « Filles de Caleb » et de « Ces enfants d'ailleurs » offre ici à ses lecteurs une incursion inattendue dans l'imaginaire d'une romancière.

Auteur : Arlette Cousture

Inusité triangle que celui mis en scène par Arlette Cousture dans cet admirable et émouvant roman qui – faut-il s'en surprendre ? – évoque cet autre triangle plus familier formé par l'écrivain, ses personnages et le lecteur. L'auteur des « Filles de Caleb » et de « Ces enfants d'ailleurs » offre ici à ses lecteurs une incursion inattendue dans l'imaginaire d'une romancière.

Auteur : Arlette Cousture

Le dernier volet de la trilogie « Les Filles de Caleb » nous transporte à l'hiver 1958, alors que Blanche franchit le cap de la cinquantaine, entourée de ses deux filles, Élise et Micheline. Avec elles, nous traversons les trépidantes années soixante, puis les turbulentes années soixante-dix, pour suivre leur destinée jusqu'en 1992.

Si la « mésange » qu'est Élise vit à Montréal avec sa mère et sa soeur, c'est de campagne que rêve cette citadine. Un séjour chez des amis fermiers de son père, les Vandersmissen, pourrait bien lui permettre de réaliser son idéal, sans compter que là-bas, dans cette maison au joli balcon fleuri, l'attend le plus beau garçon qu'elle ait jamais vu…

Des scènes inoubliables, une écriture pleine de sensualité et des dialogues colorés, voilà ce que la romancière Arlette Cousture offre à ses lecteurs dans ce dernier volet très attendu.

Auteur : Arlette Cousture

Au Québec, en France, en Suisse, en Belgique et partout où ils ont voyagé depuis la parution du tome I, « Ces enfants d'ailleurs » ont séduit des centaines de milliers de lecteurs. La romancière « Arlette Cousture » nous permet de les retrouver dans ce second tome, où elle apporte la conclusion de cette grande histoire qui a débuté en 1939 dans l'Europe de la Deuxième Guerre mondiale et s'est poursuivie dans la ville colorée de Montréal ainsi que dans les vastes plaines du Manitoba. Élisabeth, Jan et Jerzy entrent maintenant dans la trépidante décennie des années soixante.

Élisabeth et Jan habitent toujours Montréal, qui sert à merveille les ambitions de chacun. Les épiceries Aucoin, propriété de Jan, se multiplient, et la protégée d'Élisabeth, la violoniste Florence, fait des débuts plus que prometteurs sur la scène de la toute nouvelle Place-des-Arts. Mais Élisabeth affiche parfois une tristesse trop palpable pour passer inaperçue. Son amour secret pour le docteur Denis Boisvert paraît de plus en plus difficile à vivre. Florence le devine. Jan s'en inquiète. Mais comment aider Élisabeth à fuir cette prison ?

Dans la maison de Saint-Norbert, au Manitoba, deux voix puissantes animent le foyer des Pawulscy. Celle de Jerzy, père travailleur mais entêté, et celle de sa cadette Sophie, dotée d'autant de talent pour le chant que de tempérament pour la vie. Entre les deux, Anna a de quoi exercer sa patience. Sans compter que Stanislas, l'aîné, rentre de Montréal plein d'admiration pour son oncle Jan, auquel Jerzy n'adresse plus la parole depuis plusieurs années. Qu'attendent ces deux frères pour se réconcilier ?

Avec le talent qu'on lui connaît pour les récits pleins de rebondissements et de surprises, Arlette Cousture nous entraîne au fil des destinées imprévisibles de ses personnages. Et la romancière offre aux lecteurs un plaisir supplémentaire : de nouveaux personnages créés à même sa passion pour la vie. Ils se nomment Casimir, Nathaniel, Agnès… Leur histoire se greffe à celle de « Ces enfants d'ailleurs », une grande fresque bouleversante qui connaît ici son dénouement. Arlette Cousture réserve à ses lecteurs une fin à couper le souffle, comme elle seule en possède le secret.

Auteur : Arlette Cousture

« Bélier du 3 avril 1948, et née à l'heure du souper, je n'ai cessé d'être affamée de vivre. Mais, depuis plus de vingt ans, je suis devenue une assoiffée d'écrire. J'ai commencé à gribouiller à l'âge de treize ans. Étourdie sans arrêt par le carrousel de la vie, ce n'est qu'à trente ans que j'ai cessé d'être essoufflée, tantôt par les études, tantôt par mon travail de professeur, animatrice, recherchiste, interviewer, journaliste et conseiller en communication. J'ai enfin pu m'asseoir et m'enivrer d'odeurs d'encre et da papier, d'idées et de mots que l'on couche comme de la musique sur des lignes en portée. »

En 1979, Arlette Cousture a été la lauréate du VIIe Concours des auteurs dramatiques radiophoniques de Radio-Canada avec « Du ventre au temps ». En 1982, elle écrivait et assumait la mise en scène « D'ohm à Ohm », un sketch scientifico-humoristique présenté lors du premier salon des Sciences et de la Technologie. La même année, elle publiait « Aussi vrai qu'il y a du soleil derrière les nuages », la biographie de Claude Saint-Jean.

Une critique unanime

« C'est son style d'écriture qui m'a accrochée. Tout coule… c'est excellent » Louise Faure, Téléservice, Radio-Québec

« Arlette Cousture a du plaisir à raconter. C'est visible, lisible. On a l'impression non pas d'une tranche de vie, mais de tout un pain de vie. C'est un monde. Ce roman nous a rassasiés, nourris, presque gavés. Pas seulement d'ans et d'amertume : aussi de tendresses, de joies, de peines, d'amours, de renaissances, de deuils, de morts, de maladies, d'émerveillement et de bien d'autres choses encore. On ne reste pas sur sa faim. » Claire de Lamirande, Le Droit

« Le premier roman d'Arlette Cousture s'annonce comme le best-seller québécois… L'action se déroule dans la région de la Mauricie au tournant du siècle, mais pourrait peut-être vous rendre le présent plus doux à vivre. » Diane Massicotte, TV Hebdo

« Quel roman merveilleux ! Et quel souci du détail. » Micheline Ricard, CIEL-MF

« Les scènes d'amour entre Émilie et Ovila, c'est très très beau. » Wilfrid Lemoyne, Radio-Canada

« …ce n'est pas la moindre qualité d'un best-seller que d'entraîner le lecteur hors du quotidien immédiat en le projetant vers d'autres lieux et en d'autres temps… Tout y est : l'intensité du rêve, le poids de la vie, l'espoir malgré tout. » Ivanhoé Beaulieu, Le Devoir

« Un livre. Ce roman bien écrit a retenu mon attention de la première à la dernière page en réussissant à nouer, à quelques reprises, ce noeud dans ma gorge… » Doris V.-Hamel, Le Nouvelliste

« Un roman extraordinaire ! Tout au long de ma lecture, je n'ai cessé de le recommander. » Carole Trahan, CHLN

Auteur : Arlette Cousture

Un roman très attendu. La suite et la fin des « Filles de Caleb ». Un véritable best-seller. À lire absolument. Plaisir garanti !

Auteur : Arlette Cousture

Un roman très attendu. La suite et la fin des « Filles de Caleb ». Un véritable best-seller. À lire absolument. Plaisir garanti !

Auteur : Arlette Cousture

À douze ans, Arlette Cousture est transplantée, pour un temps, de son Québec des années 50 au Manitoba, patrie d'origine de la branche paternelle de sa famille. Elle y fréquente l'école où elle côtoie quotidiennement des garçons et des filles, des Polonais, des Ukrainiens, des métis, des anglophones, des francophones, des catholiques et des protestants. Quel choc !

Déjà, lorsqu'elle écrivait « Les Filles de Caleb », Arlette Cousture rêvait d'un roman qui mettrait en scène des immigrants. « Ces enfants d'ailleurs » sont nés. Ils se nomment Élisabeth, Jan et Jerzy. Leur histoire est ici, dans ces pages, à partir du jour heureux de 1939 où, à Cracovie, nous faisons leur connaissance et celle de leurs parents, Tomasz Pawulski, professeur d'histoire, et Zofia Pawulska, musicienne.

Les rumeurs de la guerre viennent pourtant inquiéter Tomasz. Elles marquent la mesure des premiers temps de « Ces enfants d'ailleurs » qui nous font vivre la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que « même les oiseaux se sont tus ». Une autre cadence s'installe rapidement, nous faisant traverser l'Atlantique vers un pays où le violon de Zofia pourra résonner de nouveau : le Canada.

Jerzy, Jan et Élisabeth trouveront tour à tour où semer leurs rêves de bonheur et d'amour. Près d'un grand fleuve, dans la ville colorée et chaleureuse de Montréal. Dans les vastes plaines généreuses du Manitoba. Que récolteront « Ces enfants d'ailleurs ? »…

Encore une fois, Arlette Cousture nous livre des personnages vrais et attachants, dotés de cette authenticité qui fait sa marque. Sous sa plume, ces êtres de mots s'animent, imprévisibles, nous retenant au piège de leurs aventures, leurs découvertes, leur acharnement, leurs déceptions et leurs victoires.

Auteur : Arlette Cousture

« Ces enfants d'ailleurs » sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s'appellent Jerzy, Elisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur père, Tomasz, professeur d'histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur…

« Arlette Cousture a le don de mener un récit, de faire vivre des personnages, de leur créer des embûches et de les contraindre à combattre (…) On verra que le souffle qui la portait dans la grande aventure des «  Filles de Caleb  » ne s'est pas épuisé.  » Denis Saint-Jacques, Québec Français

Auteur : Arlette Cousture

L'auteure des « Filles de Caleb », de « Ces enfants d'ailleurs » et de « J'aurais voulu vous dire William » met son talent au service d'un lieu qui l'a enchantée Harrington Harbour.

Son imagination nous entraîne sur cette île de la Côte-Nord où se trouve un village parcouru par un trottoir de bois, – sa seule et unique rue – et où vivent des personnages secrets comme leur île.

La romancière dévoile les rêves, les espoirs et les drames des gens de Harrington Harbour. Elle le fait si bien que le lecteur croit parfois entendre leurs voix…

Dans ce sixième roman, l'écriture d'Arlette Cousture supporte une architecture fragile celle d'un monde inventé mais qu'on imagine réel.

Car « Tout là-bas » est aussi un voyage au pays de la fiction, là où la réalité se confond avec l'imagination.

Auteur : Arlette Cousture

L'auteure des « Filles de Caleb », de « Ces enfants d'ailleurs » et de « J'aurais voulu vous dire William » met son talent au service d'un lieu qui l'a enchantée Harrington Harbour.

Son imagination nous entraîne sur cette île de la Côte-Nord où se trouve un village parcouru par un trottoir de bois, – sa seule et unique rue – et où vivent des personnages secrets comme leur île.

La romancière dévoile les rêves, les espoirs et les drames des gens de Harrington Harbour. Elle le fait si bien que le lecteur croit parfois entendre leurs voix…

Dans ce sixième roman, l'écriture d'Arlette Cousture supporte une architecture fragile celle d'un monde inventé mais qu'on imagine réel.

Car « Tout là-bas » est aussi un voyage au pays de la fiction, là où la réalité se confond avec l'imagination.