Auteur : Alphonse Daudet

Parus en 1873, les « Contes du lundi » évoquent dans la première partie (« La fantaisie et l'histoire ») cette période de défaite et de bouleversements que fut la guerre de 1870 avec ses prolongements : le pays envahi, la perte de l'Alsace, le siège de Paris, la Commune. Fierté blessée, grandeur ou malice animent des textes devenus classiques comme « Le porte-drapeau », « La dernière classe », « L'enfant espion ».

L'humour domine dans les « Caprices et souvenirs » de la seconde partie – presque noir dans « Un teneur de livres », plus rose dans « La soupe au fromage », vibrant de chaleur quand Dom Balaguère escamote ses trois messes basses.

Simplicité, finesse, émotion, poésie, vérité du trait sont les qualités maîtresses de ce recueil qui, avec les « Lettres de mon moulin », font d'Alphonse Daudet un des plus célèbres écrivains du XIXe siècle.

Auteur : Alphonse Daudet

Né à Nîmes en 1840, Alphonse Daudet doit débuter dans la vie comme maître d'études. Soutenu par son frère Ernest (historien et romancier, 1837-1921) il vient à Paris tenter fortune. Lancé par son recueil de vers, « Les Amoureuses » (1858), il est rendu célèbre par les « Lettres de mon moulin » (1866). Sa réputation croît avec « Le petit Chose » (1868), souvenirs de sa jeunesse, « Tartarin de Tarascon » (1872), l'opéra comique, « l'Arlésienne » (1872), « Contes du lundi » (1873), « Jack » (1876), « le Nabab » (1877), « Sapho » (1884), etc.

Ami de Zola, membre de l'Académie Goncourt depuis sa fondation, ce maître conteur au style limpide meurt à Paris en 1897.

Auteur : Alphonse Daudet

Né à Nîmes en 1840, Alphonse Daudet doit débuter dans la vie comme maître d'études. Soutenu par son frère Ernest (historien et romancier, 1837-1921) il vient à Paris tenter fortune. Lancé par son recueil de vers, « Les Amoureuses » (1858), il est rendu célèbre par les « Lettres de mon moulin » (1866). Sa réputation croît avec « Le petit Chose » (1868), souvenirs de sa jeunesse, « Tartarin de Tarascon » (1872), l'opéra comique, « l'Arlésienne » (1872), « Contes du lundi » (1873), « Jack » (1876), « le Nabab » (1877), « Sapho » (1884), etc.

Ami de Zola, membre de l'Académie Goncourt depuis sa fondation, ce maître conteur au style limpide meurt à Paris en 1897.

Auteur : Alphonse Daudet

Né à Nîmes en 1840, Alphonse Daudet doit débuter dans la vie comme maître d'études. Soutenu par son frère Ernest (historien et romancier, 1837-1921) il vient à Paris tenter fortune. Lancé par son recueil de vers, « Les Amoureuses » (1858), il est rendu célèbre par les « Lettres de mon moulin » (1866). Sa réputation croît avec « Le petit Chose » (1868), souvenirs de sa jeunesse, « Tartarin de Tarascon » (1872), l'opéra comique, « l'Arlésienne » (1872), « Contes du lundi » (1873), « Jack » (1876), « le Nabab » (1877), « Sapho » (1884), etc.

Ami de Zola, membre de l'Académie Goncourt depuis sa fondation, ce maître conteur au style limpide meurt à Paris en 1897.

Qui sera président du Club des Alpines aux prochaines élections : Tartarin qui passe douillettement ses journées chez lui ou l'armurier Costecalde qui mène avec vaillance les caravanes tarasconnaises à l'assaut du Pic-des-Géants ou du Mont-Terrible (200 mètres au-dessus du niveau de la mer) ? La réponse est prévisible, à moins… à moins que… Voilà pourquoi, par un affreux matin d'août, Tartarin affronte le brouillard et la neige qui rivalisent d'épaisseur pour boucher la vue tant vantée des Alpes. À lui le Rigi, la Jungfrau, le Mont-Blanc ! L'intrépide ne redoute rien de ces montagnes que Bompard l'Imposteur lui garantit truquées à l'usage des touristes. Et pourtant que de périls !

Mais la Providence veille. La fanfare de Tarascon n'aura pas à jouer de « chant noir » pour l'illustre et joyeux Tartarin.