Auteur : Giovanni Guareschi

Giovanni Guareschi a résumé ainsi sa biographie : «  Ma vie a commencé en 1908 et depuis, par la force des choses, elle a continué !  » Hélas, les plus belles choses ont une fin. C'est ainsi que, le 20 juillet 1968, une crise cardiaque vint mettre un terme à la carrière bien remplie de Guareschi qui, avant de devenir un écrivain célèbre, avait été successivement étudiant en droit, portier, caricaturiste, professeur de mandoline, résistant (il fut déporté par les Allemands) et journaliste.

Qui reconnaîtrait don Camillo dans ce militant marxiste, tenant serré contre lui les Maximes de Lénine, et visitant l'U.R.S.S. avec un groupe de communistes italiens ?

Il est moins surprenant de voir ce groupe dirigé par Peppone, devenu sénateur. Mais comment a-t-il pu accepter au sein de sa cellule son ennemi juré, don Camillo ?

On peut être sûr que si don Camillo use de la dialectique marxiste-léniniste ce n'est pas que ses opinions politiques aient changé mais bien, une nouvelle fois, pour le service de Dieu. Même à Moscou…

Auteur : Giovanni Guareschi

Giovanni Guareschi a résumé ainsi sa biographie : «  Ma vie a commencé en 1908 et depuis, par la force des choses, elle a continué !  » Hélas, les plus belles choses ont une fin. C'est ainsi que, le 20 juillet 1968, une crise cardiaque vint mettre un terme à la carrière bien remplie de Guareschi qui, avant de devenir un écrivain célèbre, avait été successivement étudiant en droit, portier, caricaturiste, professeur de mandoline, résistant (il fut déporté par les Allemands) et journaliste.

Don Camillo — que nous retrouvons pour la troisième fois — a été nommé dans une nouvelle paroisse, un maigre village de montagne. En son absence, tout va mal et ses anciens paroissiens viennent sans cesse le relancer. Aussi est-il bientôt renvoyé auprès d'eux.

Reprenant ses anciennes fonctions, il reprend en même temps sa lutte contre le démon rouge, incarné par son éternel adversaire et meilleur ami, le maire communiste Peppone.

Au cours d'incidents tantôt cocasses, tantôt tragiques, Peppone et son curé s'affrontent… et s'entraident. La religion et la politique font tant bien que mal route ensemble. C'est le triomphe de la solidarité sur la rigueur des dogmes.

Auteur : Giovanni Guareschi

Giovanni Guareschi a résumé ainsi sa biographie : « Ma vie a commencé en 1908 et depuis, par la force des choses, elle a continué » Hélas, les plus belles choses ont une fin. C'est ainsi que, le 20 juillet 1968, une crise cardiaque vint mettre un terme à la carrière bien remplie de Guareschi qui, avant de devenir un écrivain célèbre, avait été successivement étudiant en droit, portier, caricaturiste, professeur de mandoline, résistant (il fut déporté par les Allemands) et journaliste.

Le retour de don Camillo…

Auteur : Giovanni Guareschi

Giovanni Guareschi a résumé ainsi sa biographie : « Ma vie a commencé en 1908 et depuis, par la force des choses, elle a continué » Hélas, les plus belles choses ont une fin. C'est ainsi que, le 20 juillet 1968, une crise cardiaque vint mettre un terme à la carrière bien remplie de Guareschi qui, avant de devenir un écrivain célèbre, avait été successivement étudiant en droit, portier, caricaturiste, professeur de mandoline, résistant (il fut déporté par les Allemands) et journaliste.

Don Camillo bien sûr, et Peppone bien sûr, et le Christ du grand autel. Mais aussi un enfant trouvé sur les marches de la Maison du peuple, un gamin qui court après son ballon en rampant dans les champs de luzerne, une union libre parfaitement légalisée, une patronne de café criarde transformée en Sainte Vierge, une maison hantée, beaucoup d'affiches, des side-cars, un camion, don Candido prêtre paysan comme on dit prêtre ouvrier, un enterrement transformé en course à travers la campagne… c'est plus que jamais tout le « petit monde » de don Camillo qui est ici mis en scène avec la verve du Guareschi de toujours.

Voici quinze ans que Giovanni Guareschi est mort. Une série de textes inédits ont été retrouvés dans ses papiers. Ce sont ceux dont la publication commence ici. On peut penser qu'ils seront, en France comme en Italie, l'occasion de rajeunir les plus vieux d'entre nous et celle d'une découverte pour les plus jeunes.

Auteur : Giovanni Guareschi

Giovanni Guareschi a résumé ainsi sa biographie : « Ma vie a commencé en 1908 et depuis, par la force des choses, elle a continué » Hélas, les plus belles choses ont une fin. C'est ainsi que, le 20 juillet 1968, une crise cardiaque vint mettre un terme à la carrière bien remplie de Guareschi qui, avant de devenir un écrivain célèbre, avait été successivement étudiant en droit, portier, caricaturiste, professeur de mandoline, résistant (il fut déporté par les Allemands) et journaliste.

« Derrière le petit monde de Don Camillo, disait Guareschi, il y a ma maison, Parme, la plaine émilienne, le long du Pô, où la passion politique s'exaspère, mais où le peuple pourtant demeure séduisant, généreux, hospitalier et plein d'humour. »

Ces simples personnages du terroir italien, sortis du coeur de Guareschi, allaient très vite acquérir une dimension universelle. Les démêlés de Don Camillo, le curé non-conformiste, et de Peppone, le maire communiste, sont maintenant traduits dans toutes les langues. C'est que lire Don Camillo, c'est goûter la joie de vivre.

Auteur : Giovanni Guareschi

Le plus célèbre livre de notre après-guerre. Celui où l'humour nous a permis de mieux comprendre et de dominer les oppositions qui divisaient notre société, nos pays. En créant les figures du prêtre de choc Don Camillo et du maire communiste Peppone, ennemis inséparables et frères en secret, Giovanni Guareschi a donné à notre temps deux personnages emblèmes, tels qu'on en trouve pour leur époque dans la Comèdia dell'Arte ou chez Molière. Relire aujourd'hui « Le Petit Monde de Don Camillo », ce n'est pas seulement revenir aux sources : c'est retrouver un bienfait dont nous avons plus que jamais besoin.