Auteur : Pierre Rey

Livre relié à couverture cartonnée.

Contraindre un géant de la finance épousé le jour même à demander le divorce pendant sa nuit de noces. Se laver la tête au caviar, mais nourrir son maître d'hôtel de déchets. Avaler par mégarde un diamant d'un million de dollars et le perdre en plein ciel. Découvrir le plaisir en mer Égée, par trente mètres de fond, avec l'amant exécré de sa propre fille. Devenir malgré soi, dans une valse de pots-de-vin et d'intrigues, le pivot des élections américaines…

Ces aventures peu ordinaires ne pouvaient arriver qu'à un personnage extraordinaire, Peggy Satrapoulos, celle que le monde entier, depuis la mort du Grec, appelle la Veuve – une de ces femmes qui, par leur caractère et leur beauté, fascinent leur siècle.

Auteur : Pierre Rey

Livre à reliure cartonnée sans la jaquette de couverture.

Né un dimanche d'avril en Provence, Pierre Rey a abordé le journalisme par le biais des Beaux-Arts – ses dessins ont été publiés par la plupart des grands journaux français. Débuts à Paris-Presse, rubrique spectacles. Chroniqueur parisien à Paris-Jour en 1959 – Prix de la Chronique parisienne en 1963 – il devient en 1965, à la demande de Jean Prouvost, rédacteur en chef puis directeur de Marie-Claire. À navigué pendant des années dans les eaux agitées du Jet-Set international. Sa pratique de la natation et de la boxe, ses deux sports favoris, lui a permis d'en sortir indemne et de publier « Le Grec », son premier livre.

Auteur : Pierre Rey

Livre relié à couverture cartonnée.

Né un dimanche d'avril en Provence, Pierre Rey a abordé le journalisme par le biais des Beaux-Arts – ses dessins ont été publiés par la plupart des grands journaux français. Débuts à Paris-Presse, rubrique spectacles. Chroniqueur parisien à Paris-Jour en 1959 – Prix de la Chronique parisienne en 1963 – il devient en 1965, à la demande de Jean Prouvost, rédacteur en chef puis directeur de Marie-Claire. À navigué pendant des années dans les eaux agitées du Jet-Set international. Sa pratique de la natation et de la boxe, ses deux sports favoris, lui a permis d'en sortir indemne et de publier « Le Grec », son premier livre.

D'un côté, les banques suisses. Dans le secret de leurs caves blindées, sous l'anonymat de leurs comptes à numéros, elles détiennent le quart des richesses mondiales. Protégées par le fameux « secret bancaire », ces fabuleuses richesses font de la Suisse le coffre-fort de la planète. De l'autre, la Mafia. Cosa Nostra possède ou contrôle, par le biais de sociétés-écrans, 65 p. 100 au moins de toutes les entreprises européennes et américaines réunies. Chiffre d'affaires pour l'exercice 1974 : 20,000 milliards d'anciens francs. L'argent n'a pas d'odeur, c'est connu. Sauf quand la guerre totale éclate entre ces deux super-puissances occultes, le jour où les banques suisses défient la Mafia. Ce jour-là, l'argent prend l'odeur du sang. Car si rien ne résiste à Italo Bebe Volpone et à Don Ettore Gabelotti, les tout-puissants chefs de famille du Syndicat, rien au monde ne peut faire céder Homer Kloppe, le banquier de Zurich.

Auteur : Pierre Rey

Né un dimanche d'avril en Provence, Pierre Rey a abordé le journalisme par le biais des Beaux-Arts – ses dessins ont été publiés par la plupart des grands journaux français. Débuts à Paris-Presse, rubrique spectacles. Chroniqueur parisien à Paris-Jour en 1959 – Prix de la Chronique parisienne en 1963 – il devient en 1965, à la demande de Jean Prouvost, rédacteur en chef puis directeur de Marie-Claire. À navigué pendant des années dans les eaux agitées du Jet-Set international. Sa pratique de la natation et de la boxe, ses deux sports favoris, lui a permis d'en sortir indemne et de publier « Le Grec », son premier livre.

D'un côté, les banques suisses. Dans le secret de leurs caves blindées, sous l'anonymat de leurs comptes à numéros, elles détiennent le quart des richesses mondiales. Protégées par le fameux « secret bancaire », ces fabuleuses richesses font de la Suisse le coffre-fort de la planète. De l'autre, la Mafia. Cosa Nostra possède ou contrôle, par le biais de sociétés-écrans, 65 p. 100 au moins de toutes les entreprises européennes et américaines réunies. Chiffre d'affaires pour l'exercice 1974 : 20,000 milliards d'anciens francs. L'argent n'a pas d'odeur, c'est connu. Sauf quand la guerre totale éclate entre ces deux super-puissances occultes, le jour où les banques suisses défient la Mafia. Ce jour-là, l'argent prend l'odeur du sang. Car si rien ne résiste à Italo Bebe Volpone et à Don Ettore Gabelotti, les tout-puissants chefs de famille du Syndicat, rien au monde ne peut faire céder Homer Kloppe, le banquier de Zurich.

Auteur : Pierre Rey

Un été délirant sur la Côte d'Azur.

Pierre Rey est né à Courthezon dans le Vaucluse. Il a fait les Beaux-arts à Paris. À dix-sept ans, il vendait des « cartoons » et des dessins humoristiques (entre autres au « New Yorker »). Il travaille au magazine Arts et entre à Paris-Presse et Paris-Jour où il est « chroniqueur parisien ». Il obtient le « Prix de la Chronique parisienne ». À trente-trois ans, il est directeur de Marie-Claire. Il est l'auteur des romans suivants : Le Grec (1972), La Veuve (1976), Out (1977), Palm Beach (1979), Sunset (1988) et de deux pièces de théâtre : La mienne s'appelait Régine jouée aux États-Unis par Anthony Quinn et Ava Gardner et L'Opéra du Fou (1984). Pierre Rey est passionné de psychanalyse et de linguistique. Il a publié aux Éditions Robert Laffont Une saison chez Lacan (1989).

Auteur : Pierre Rey

Pierre Rey est né à Courthezon dans le Vaucluse. Il a fait les Beaux-arts à Paris. À dix-sept ans, il vendait des « cartoons » et des dessins humoristiques (entre autres au « New Yorker »). Il travaille au magazine Arts et entre à Paris-Presse et Paris-Jour où il est « chroniqueur parisien ». Il obtient le « Prix de la Chronique parisienne ». À trente-trois ans, il est directeur de Marie-Claire. Il est l'auteur des romans suivants : Le Grec (1972), La Veuve (1976), Out (1977), Palm Beach (1979), Sunset (1988) et de deux pièces de théâtre : La mienne s'appelait Régine jouée aux États-Unis par Anthony Quinn et Ava Gardner et L'Opéra du Fou (1984). Pierre Rey est passionné de psychanalyse et de linguistique. Il a publié aux Éditions Robert Laffont Une saison chez Lacan (1989).

Los Angeles… Douze millions d'habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.

Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu'au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s'effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny.

Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous.

Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la coca ne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l'écrire. Los Angeles, il connaît bien : il y vit.

Auteur : Pierre Rey

Pierre Rey est né à Courthezon dans le Vaucluse. Il a fait les Beaux-arts à Paris. À dix-sept ans, il vendait des « cartoons » et des dessins humoristiques (entre autres au « New Yorker »). Il travaille au magazine Arts et entre à Paris-Presse et Paris-Jour où il est « chroniqueur parisien ». Il obtient le « Prix de la Chronique parisienne ». À trente-trois ans, il est directeur de Marie-Claire. Il est l'auteur des romans suivants : Le Grec (1972), La Veuve (1976), Out (1977), Palm Beach (1979), Sunset (1988) et de deux pièces de théâtre : La mienne s'appelait Régine jouée aux États-Unis par Anthony Quinn et Ava Gardner et L'Opéra du Fou (1984). Pierre Rey est passionné de psychanalyse et de linguistique. Il a publié aux Éditions Robert Laffont Une saison chez Lacan (1989).

Los Angeles… Douze millions d'habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.

Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu'au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s'effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny.

Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous.

Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la coca ne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l'écrire. Los Angeles, il connaît bien!!